De natura rerum
Collection fondée par Patrick Reumaux (†) et Xavier Carteret. Collection dirigée par Camille Pech de Laclause.
La collection « De natura rerum » est consacrée aux règnes de la nature : botanique, science du vivant et minéralogie. Chaque volume est pensé comme une création unique mêlant rigueur scientifique, plaisir de la lecture et plaisir des yeux.
Rigueur scientifique car il est fait appel aux meilleurs spécialistes et parce que chaque volume comprend les descriptions précises et savantes de chaque espèce étudiée. Plaisir de la lecture car nous avons choisi de confier la rédaction des textes à des auteurs épris de littérature en même temps que passionné par la nature et ses trésors. Plaisir des yeux car chaque volume est richement illustré en couleur. Les illustrations répondent à la fois à des critères d'esthétique, d'exactitude scientifique et de pertinence par rapport au texte.
La collection invite le lecteur à un passionnant voyage au cœur de la nature dans sa complexité, sa diversité, son immense richesse et sa très grande beauté.
Vous pouvez consulter et télécharger le catalogue à jour de la collection ici.
Alphonse Karr, Taxile Delord, Comte Foelix
Les Fleurs animées
2 volumes sous coffret
« Le temps des fleurs est arrivé ! » affichait-on dans les rues de Paris au milieu du 19e siècle. Imaginées par une joyeuse troupe de journalistes polymathes entre 1846 et 1847, Les Fleurs animées rassemble des textes d’un genre varié, tantôt fantasmagoriques, tantôt pratiques, qui invitent à mieux connaître les fleurs, qu’elles soient champêtres ou parquées, sauvages ou domestiquées.
Nicolas Deleau
Une conque à l'oreille
Ode aux trésors minuscules
« Tu aimes le voyage, lecteur. Puissent ces petites chroniques t’y inviter ; les objets qui en nourrissent les histoires jalonnent les chemins de traverse. Et puisses-tu, en refermant ce livre, te laisser vivre toute une journée, en regardant par ta fenêtre le monde qui va, ou cette lèpre sur...
Paule Marie Duquesnoy
Journal du marais
Après la sidération du premier confinement, Paule Marie Duquesnoy entame son journal dans un coin de campagne corrézienne, celui qui l’a vue naître et ses aïeux aussi. Un an durant, non loin de son jardin où elle nomme avec soin pensées et rhododendrons, la sauvagerie stagnante du marais du Brezou...
William Butler Yeats
La Rose secrète
suivi de Les Histoires de Hanrahan le roux
Cité parmi les plus grands poètes du XXe siècle, William Butler Yeats s’est frayé un chemin envoûtant dans le folklore irlandais, pavé de contes intemporels qui mêlent la prose à la poésie.Dans ces contrées où les roses cultivent leur secret, on croise des pendus qui chantent face à des...
John Lewis-Stempel
La vie secrète des rapaces nocturnes
La nuit venue, nos bois se remplissent de hululements. Qui n’a pas réprimé un léger frisson en les entendant ? Ne fermez pas vos volets trop vite cependant. Au dehors, une vie nocturne parfois cruelle, toujours fascinante, se déroule. Y règnent en maîtres des rapaces aux yeux perçants et aux...
D. H. Lawrence
Le Renard et autres étreintes mortifères
Ce recueil original de trois nouvelles rassemble les thèmes de prédilection du romancier : la critique d'une société à la fois matérialiste et puritaine, et l'éloge des forces instinctives de la vie. Lumineuses et douloureuses comme les caresses brûlantes du soleil, c'est à la célébration de la nature sous toutes ses formes qu'incitent ces histoires d'âmes.
Séverina Lartigue
Cent et un pétales pour une rose
Séverina Lartigue, Maître d’art, fabrique des fleurs précieuses en soie pour la haute couture et perpétue ainsi le savoir-faire de la grande parurière florale parisienne. Un savoir-faire venu d’Italie qui se perfectionna en France au début du XVIIIe siècle pour atteindre une renommée internationale sous le règne de Marie-Antoinette. Dans Cent et un pétales pour une rose, Séverina Lartigue nous fait découvrir son métier, son art, sa passion dans une épopée poétique entre le passé et l’avenir, entre la nature et le monde du luxe.
Patrick Reumaux
Maison Noire
Un texte inédit du grand écrivain et traducteur Patrick Reumaux, dans lequel il traque les ombres qui errent sur le plateau ardennais de sa maison noire.
Jean De Bosschère
Le Chant des haies
Flore et faune des lisières
Une à une, toutes les plantes sont décrites avec leurs habitats, leurs moeurs, leurs vices et leurs vertus. Tous les oiseaux, tous les insectes et le comportement particulier de chaque espèce ; aucun être végétal ou animal n’est oublié, et des dessins aussi gracieux qu’exacts illustrent ces pages où la poésie ne le cède qu’à la science.
Charlotte de La Tour
Le Langage des fleurs
Les fleurs parlent. Leur langage original permet de dire, sans un mot, l’amour, l’amitié mais aussi le désespoir, le regret, et bien d’autres sentiments. Cet ingénieux mode d’expression fut véritablement codifié au xviie siècle en Perse, où l’arrangement symbolique d’un bouquet (sélam), discours de parfums et de couleurs mêlés, formait...
Julie Delfour
L’Œil du chat
L’ultime Bête noire
Dans cet ouvrage, troisième volet de sa trilogie « L’Ultime Bête Noire », Julie Delfour poursuit l’exploration des relations entre l’Homme et le Sauvage en prenant l’exemple du chat, ce prestidigitateur de génie.
Llewelyn Powys
De l'ébène à l'ivoire
Sont ici réunis les récits africains de Llewelyn Powys écrits lors du long séjour qu’il fit au Kenya pour aider son jeune frère Willie, le benjamin de la famille, à la ferme qu’il avait acquise.
Julie Delfour
Les Guetteurs d'ombres
Face à la Bête noire
Tout au long du processus de civilisation, l’homme n’a cessé de vouloir gommer la part d’ombre ; d’effacer ce chemin qui l’a conduit de l’état animal à l’état humain. Pourtant, et bien qu’il en ait souvent peur, il conserve cette nostalgie de l’ombre.
André Dhôtel
Le Vrai mystère des champignons
Les champignons n’ont aucune éducation. Leurs formes affirment une méconnaissance totale de tout usage. Ils ne sont même pas monstrueux. Ambigus et radieux, ils tournent en dérision les plus élémentaires principes.
William Henry Hudson
Contes des Pampas
Qu’est-ce qui s’imprime dans la prunelle, laissant une marque indélébile, à la lecture de ces contes : l’herbe longue des pampas, ondulant comme la mer à perte de vue, l’ombre gigantesque du feuillage de l’Ombú abritant les paroles du vieux Nicandro déroulant ses souvenirs : la balle tirée à bout...